Ce billet participe au rendez-vous Un jour des mots de Cédric du blog From Yukon. Un rendez-vous éphémère qui durera le temps qu'il faut. Y participe qui veut, au jour le jour.
Vous commencez à connaître le principe.
Retrouver ma précédente participation en un clic
Un, deux, trois…non nous n’irons pas au bois…mais au bout du monde. Nous irons voir ce monde qui défile sur notre écran de télévision, et qui nous donne envie de bouger.
Nous irons poser nos valises dans de jolies chambres avec vues. Prendre le temps de nous poser pour admirer ces jolies paysages.
Quatre, cinq, six…non nous ne mangerons pas des saucisses mais des McDo, ou encore des pizzas assis dans le coffre d’une voiture sur un parking au milieu de nulle part. La meilleur pizza du monde dans une pizzeria au sol crasseux où je n’aurai jamais mis les pieds si elle se trouvait dans notre ville.
Mais la faim nous oblige parfois à fermer les yeux sur certains détails, pour finalement se régaler à s’en lécher les doigts.
Sept, huit, neuf avec des valises toutes neuves. Il nous aura fallut du temps pour les choisir. Même si aujourd’hui les voir si abimés nous fait sourire, et apprécier tous ces kilomètres parcourus, à notre premier retour nous étions si dépités de les voir abimés.
Dix ans ceux sont presque écoulés depuis que nous avons fermés notre porte pour notre premier GRAND voyage. Depuis, on enchaîne les projets, les rêves, les hôtels, les voitures de locations, les sunset, les rires, les larmes.
Il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis, j’ai tellement soif de voir le monde que j’hâte de boucler très bientôt nos valises, mon sac de Dora l’exploratrice et d’aller voir ailleurs si j’y suis.
Vous commencez à connaître le principe.
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Un, deux, trois…non nous n’irons pas au bois…mais au bout du monde. Nous irons voir ce monde qui défile sur notre écran de télévision, et qui nous donne envie de bouger.
Nous irons poser nos valises dans de jolies chambres avec vues. Prendre le temps de nous poser pour admirer ces jolies paysages.
Quatre, cinq, six…non nous ne mangerons pas des saucisses mais des McDo, ou encore des pizzas assis dans le coffre d’une voiture sur un parking au milieu de nulle part. La meilleur pizza du monde dans une pizzeria au sol crasseux où je n’aurai jamais mis les pieds si elle se trouvait dans notre ville.
Mais la faim nous oblige parfois à fermer les yeux sur certains détails, pour finalement se régaler à s’en lécher les doigts.
Sept, huit, neuf avec des valises toutes neuves. Il nous aura fallut du temps pour les choisir. Même si aujourd’hui les voir si abimés nous fait sourire, et apprécier tous ces kilomètres parcourus, à notre premier retour nous étions si dépités de les voir abimés.
Dix ans ceux sont presque écoulés depuis que nous avons fermés notre porte pour notre premier GRAND voyage. Depuis, on enchaîne les projets, les rêves, les hôtels, les voitures de locations, les sunset, les rires, les larmes.
Il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis, j’ai tellement soif de voir le monde que j’hâte de boucler très bientôt nos valises, mon sac de Dora l’exploratrice et d’aller voir ailleurs si j’y suis.