Jour 7 Telluride Blues Festival 3

Jour 7 Telluride Blues Festival 3

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 On se réveille plus tôt et avant d’aller sur le site on prend les « œufs » pour monter dans la station de ski qui domine la petite ville.

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LIGHTNIN MALCOM

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RL BOYCE

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Après un sandwich au Farmer Market on démarre la dernière journée avec RL Boyce qui est accompagné à la basse par Lightnin Malcolm et par une drummer du Mississippi. Il joue, assis, un Hill Country Blues d’une grande pureté, reprenant les morceaux de R.L. Burnside, entretenant la flamme de cette superbe musique. Puis, à la fin du show, il se lève et se lance dans une imitation parfaite du « duck walk dance » de Chuck Berry sous le regard hilare de Malcolm. On laisse passer Valerie June pour écouter les Soul Sister de la Music Maker Fondation au camping du festival, puis retour devant la scène pour l’apothéose finale avec Anders Osborne.

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ANDERS OSBORNE

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Lui aussi nous offre une prestation différente de la veille, bourrée de feeling, avec le gars Sansone qui vient pousser un coup d’harmonica, un lancer de colliers Nola dans le public, et un show parfait.

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GOV'T MULE

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On reste sur place, pour Gov’t Mule. Pendant le festival nous avons écouté beaucoup d’artistes que nous aimons mais la bande à Warren c’est une autre dimension ! ! !

Deux heures trente de musique, avec un démarrage sur les chapeaux de roue « Hammer & Nails », « Thorazine Shuffle », « Million Miles From Yesterday » les morceaux du dernier album le long « Revolution Come, Revolution Go»et le magnifique « Traveling Tune » un de mes morceaux préférés du groupe toute époque confondue. Et les jams somptueuses sur les morceaux d’anthologie « Mountain Jam » avec les riffs de « Norwegian Wood » et « St. Stephen Jam » puis « Soulshine » en final. Et un rappel d’anthologie avec « Maggot Brain ». Puis un autre, et une longue, très longue introduction les spectateurs croient que ce sera « Shine On Your Crazy Diamond », puis « Whipping Post » non c’est une version apocalyptique du « Cortez the Killer » du Loner, dans le genre de celle avec Dave Matthews en 2011 à Central Park. Gov’t Mule en plein air c’est encore plus fort, plus intense qu’en salle, et c’est l’apothéose de ces trois jours de musique.

On a zappé l’after avec R.L. Boyce pour garder dans la tête ce final somptueux.

Soulignons enfin, la propreté du site avec de nombreuses poubelles et un tri écologique, des toilettes nombreuses, même le dernier jour aucun détritus n’est sur le sol. Super boulot.

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